Bolas Bug

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1 — La bibliothèque à vin
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1 — Le bar en zinc
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1 — Le bar en zinc
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1 — L'étage et ses miroirs
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1 — L'étage et ses miroirs
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1 — Le Bolas-Bug
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1 — Plan du rez-de-chaussée
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1 — Plan de l'étage
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1 — Coupe longitudinale
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1 — Axonométrie

 

On ne peut pas lier le travail du Bolas-Bug au lieu. Le lieu est magnifique. La place du Marché, face au Perron, quoi de mieux à Liège. Mais non, ce n’est pas le lieu qui a dicté un quelconque choix mais l’intervention de Fabrice. Il avait déjà ouvert un café, puis deux, puis trois. Et au fil des années, sa clientèle avait vieilli avec lui.

C’est un café clair, de gens qui ne sont pas gênés d’aller au café, c’est une pause après le travail, entre les courses.

C’est un bar convivial, il est en zinc, on s’y accorde, on s’y attable aussi.

C’est une grande table, et haute aussi.

Mais la bibliothèque à vin, elle, est très très haute. Sur deux étages, elle éclaire tout le café jusqu’au restaurant du premier.

Le restaurant, c’est une coque de bateau en afzélia qui flotte sur quatre poutres.

Et puis il y a José Parrondo. Bolas-Bug, c’est lui, il l’a peint partout : sur les murs, sur les portes, sur les miroirs. Il a aussi édité sa charte graphique des couleurs.

Nous finissons, entrepreneurs, architectes et clients, sur les terrasses après le travail. Le chantier n’a pas duré assez longtemps. C’était bien, trop bien.